Quand le cœur lâche

La mort subite d’un coureur de 25 ans à la fin du semi-marathon de Singapour le 26 août, puis du footballeur professionnel espagnol Antonio Puerta (22 ans) et, aujourd’hui, d’un jeune volleyeur de 26 ans lors d’une séance d’entraînement dans un gymnase de Chaumont, rappelle brutalement l’incidence significative de ce type d’accident chez les sportifs, qui frappe entre 400 et 500 individus chaque année en France, pratiquants du dimanche comme athlètes de haut niveau.

Dans la plupart des cas, la mort subite est associée à des problèmes cardio-vasculaires ignorés ou silencieux, le risque étant évidemment aggravé par la fatigue imposée par le rythme des compétitions, mais aussi la chaleur et l’humidité, sans oublier enfin le dopage et la consommation de drogues qui font désormais partie intégrante de l’ »entraînement ».

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